Concert organisé par l’association Jazzogène

Matthieu Rosso, guitares, compositions
Denis Guivarc’h, saxophones
Jean-Philippe Morel, basse électrique
Rafaël Koerner, batterie

Après des études au conservatoires d’Aix en Provence et de  Marseille, ensuite à Paris où il obtient son diplôme d’études musicales en 2009 et qui seront l’occasion de rencontres déterminantes avec e.a. Manu Codjia, Steve Coleman, Marc Ducret, Jean Paul Celea, Matthieu Rosso fonde ses propres formations avec notamment Franck Vaillant et Sylvain Cathala. Il enregistre un premier cd à son nom avec le « Matthieu Rosso Red Quartet »,  qui obtient la distinction « Révélation » de la revue Jazzmagazine. Il a été l’invité des émissions « open jazz », « le bleu la nuit », « le jazz probablement » sur France Musique.

A mi-chemin des multiples influences qui ont émaillé son parcours artistique, qui vont du Jazz traditionnel au Rock en passant par les musiques plus libertaires, Matthieu Rosso a su développer une liberté de ton et une originalité dans le discours instrumental, comme dans ses compositions, où les seules limites qu’il se fixe sont celles de sa propre imagination. Ainsi, à travers son projet "RED Quartet", il  convoque tour à tour les fantômes de Jimi Hendrix, Jeff Beck, Bill Frisell, Wayne Krantz ou Marc Ducret, tout en réussissant à les garder à une distance raisonnable, pour qu’ils viennent simplement nourrir son langage en tout point singulier.

Dans son « Red Quartet » il est entouré du saxophoniste Denis Guivarc’h, 10 années dans l’orchestre de Magic Malik, le bassiste Jean-Philippe Morel, partenaire e.a. de François Jeanneau et Archie Shepp et du batteur Rafaël Koerner, rythmicien de la grande formation « Ping Machine » et du quartet « Big Four ».

Visitez le site, Ecoutez : Matthieu Rosso red Quartet

Résidence de travail
du 27 au 31 Janvier 2014

Présentation publique :
VENDREDI 31 JANVIER
à 20h30

Tarif plein : 10€
Tarif réduit : 8€ demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans

Compagnie Pierrot Noir
Philippe Le Velly alias Pierrot Noir, chant
Kevin Castagna, guitare,
Alain Moreau, accordéon
Rodrigue Maurand, contrebasse

Le nouveau spectacle de chansons de Pierrot Noir est une balade dans un univers à la fois poétique et réaliste, un regard aiguisé et ironique sur une société de consommation déshumanisée.

Voilà un chanteur qui se tient depuis toujours  à l’écart des produits manufacturés et des discours policés. Il fait partie de ces troubadours qui, depuis plus de vingt ans, lancent sur les chemins de traverse les mots qui raniment les rêves, réveillent les nostalgies. Il écorche les Philistins, égratigne les possédants, il a le trait saignant des caricaturistes  du  siècle dernier avec les mots d’aujourd’hui. Comédien, auteur, musicien, Pierrot Noir déterre la hache de guerre, c’est le retour du cheyenne qu’aime pas marcher en file indienne. Ses tranches de vie sont pétries d’humanité et du temps qui passe.

Le petit théâtre de Pierrot Noir fourmille de personnages hauts en couleurs, il tangue son blues Rabelaisien sur des rythmiques soutenues de sensibilité et d’efficacité par ses fidèles compagnons de route : Kevin Castagna à la guitare, Alain Moreau à l’accordéon et Rodrigue Maurand à la contrebasse, qui signent les arrangements du spectacle ainsi que certaines musiques. Si vous aimez la chanson française populaire, celle des rues ou des ports, la chanson qui a une âme, la chanson qui fait rire ou qui procure de l’émotion, les coups de gueule aux accents de tendresse de Pierrot Noir sont pour vous !

Résidence de travail
du 3 au 8 Février 2014

Présentations publiques :
VENDREDI 7 FEVRIER
à 20h30
et SAMEDI 8 FEVRIER
à 18h

Tarif plein : 10€
Tarif réduit : 8€ demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans

Compagnie Le Bruit des Ombres
Texte de Vladia Merlet
Interprétation : Vladia Merlet, comédienne et David Cabiac, musicien
co-productions : Par Les Temps Qui Courent / Le Bruit des Ombres

CAFI signifie «Cité d’Accueil des Français, Rapatriés d’Indochine» : c’est donc nous les rapatriés ?
Mais qu’est-ce que ça veut dire ra-pa-triés? ». Avril 1956, Louise, 9 ans, quitte l’Indochine avec toute sa famille sur le bateau le «Captain Cook». L’appareillage est précipité, mais dans leurs bagages un morceau de leur monde, des graines : piment, maïs blanc, liseron d’eau, aubergine violette…
«La France est sûrement impatiente de nous rencontrer : une grande dame debout au bord de la mer, vêtue de bleu, de blanc, et de rouge». Mais le camp est sinistre, l’accueil brutal, si loin de l’image rêvée. En suivant Louise de son exil vietnamien à ses vieux jours dans le «camp des Chinois» de Sainte livrade sur Lot, «CAFI» tisse les fils de l’histoire de ces milliers de Français pas tout à fait comme les autres, dits d’Indochine. Souvent avec humour, à travers l’expression de sa force de vie, Louise nous amène à éprouver ce que vécurent ces milliers de familles rapatriées d’Indochine ou d’ailleurs. Par-delà ce destin individuel, c’est celui de tous les migrants, immigrés, indigènes qui se dessine.

Pour raconter l’histoire de ce personnage pris entre ces deux mondes, l'auteure et comédienne, Vladia Merlet incarne tour à tour les différents protagonistes de son récit : Louise, mais aussi son frère, sa mère, ses voisines, ses amies. Expressive et sensible, la jeune femme nous livre une interprétation remarquable...()...voix et musique live jouée presque sans interruption, accompagnent le propos et l’émotion de la narratrice. ...()...un hommage visuel et vibrant à une population tiraillée et (trop) longtemps oubliée. (Marianne Cousseran - Le Pariscope)

En savoir plus : CAFI

Résidence de création du 10 au 15 Février 2014

Compagnie Théâtre grandeur nature
Adaptation du livre “La nuit du Visiteur” de Benoit Jacques
Conception et Interprétation : Isabelle Jeanty
Regard exterieur : Betty Heurtebise
Collaboration : Esclarmonde Nicolet
Décors  : Pascal Marianelli
Costumes : Célia Bardoux
Co-productions : Théâtre grandeur nature / C.A.B.

Du 30 septembre au 5 octobre 2013,  la Communauté d’Agglomération Bergeracoise en concertation avec le Centre Culturel de Bergerac (24) et en Janvier 2014 en partenariat avec le Pôle Régional Théâtre le Moulin du Marais à Lezay (79), Isabelle Jeanty, metteure en scène et comédienne, a été acceuillie avec son projet de création « Qui va là ? » spectacle à destination du jeune public, adaptation du  très créatif livre de Benoit Jacques, "La nuit du visiteur".

Après ces deux étapes de recherches, l’artiste sera de nouveau en résidence de travail du 10 au 14 Février 2014 au Paradis (galerie verbale), pour continuer son exploration.

 « C’est la fin de la journée, l’heure où partout s’étend le crépuscule.
Dans la forêt Mère-Grand s’est enfermée au fond de sa cabane minuscule.
Fatiguée, inquiète et solitaire, elle attend assise dans son lit
Le petit chaperon retardataire qui doit venir comme tous les vendredis.
Toc, Toc, Toc, On frappe à la porte. »

Mère-Grand et Isabelle affronterons de mystérieux visiteurs qui frappent à leur porte ! Et si ce n'est pas leur gentil petit chaperon rouge, qui sont-ils ? Comment vont-elles s'en sortir ? Elles espèrent pouvoir vous le dire très prochainement...

Présentation publique :
SAMEDI 8 MARS 2014
à 18h
et
à 20h30

Tarif plein : 10€
Tarif réduit : 8€ demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans

CRIM  (centre rencontres interventions musicales)
D'après l'oeuvre d'Ernest Hemingway
Adaptation et jeu : Jean Lagrave
Musique : Erik Baron
Lumière : Enzo Cescatti
Regard complice : Dominique Unternehr

Il y a du monde sur le plateau du "Vieil homme et la mer"  : le vieil homme, la mer, bien sûr, mais aussi l'aigle, l'espadon, les requins, les dorades et les thons, le plancton, le gamin qui aime le vieil homme, le ciel, le silence des forces abyssales, les mouvements du monde d'en dessous , les sonars des grands poissons.

Sur la scène, Jean Lagrave incarne le monde du dessus ;  les yeux rivés sur l'aigle des mers qui montre l'emplacement des bancs de poissons, il lutte  avec le grand espadon comme le toréador avec son taureau.

Erik Baron, avec sa basse et ses effets, fait vivre les vibrations, frémissements, grondements, sifflements du grand océan. Les masses d'eau frôlent les cordes, pressent les pédales. On entend le chant des baleines.
Ainsi, du ciel jusqu'au fond des mers, en passant par la ligne changeante de la surface, c'est le monde entier, en coupe, qui nous est offert pendant cette lecture- concert.

Extrait vidéo : le vieil homme et la mer / Jean Lagrave - Erik Baron

Présentation publique :
LUNDI 10 MARS
à 19 h
GRATUIT

Associations DOPEAL* et Féroce marquise**

Cet évènement est organisé dans le cadre du Festival Expoésie et du Printemps des Poétes

Exposition : Parcours photographique, exceptionnel, sur la vie de Pablo Neruda.

Projection : Pablo Neruda, documentaire, d’Amalia Escriva- 1998 - 45 mn
Biographie littéraire de Pablo Neruda qui reflète le double engagement du poète : dans l'histoire de son siècle et dans le monde sensible. Le film suit le voyage de sa vie, à travers les lieux et les gens pour trouver son terme à Isla Negra, où Pablo Neruda avait choisi de se poser et de construire sa maison-manifeste, véritable transcription de son monde intérieur.

Lectures : Poèmes en français et en espagnol avec les lecteurs Beatrix, Brigitte, Eduardo, Jean-Marie et l’accompagnement musical de David Garciarena à la guitare.

" Nous avons peut-être le temps / encore d'être, et
d'être justes.   / D'une manière provisoire / la vérité
est morte hier, / cela tout le monde le sait /
bien que chacun le dissimule; / elle n'a point reçu
de fleurs; / elle est morte et nul ne la pleure."
+ Buffet aux saveurs « latinos »

* Association DOPEAL : Dordogne Périgord - Amérique Latine - www.dopeal.com
*Expoésie : www.ferocemarquise.org/

Présentations publiques :
VENDREDI 28 MARS
et SAMEDI 29 MARS 2014
à 20H30

Tarif plein : 10€
Tarif réduit : 8€ demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans

Théâtre grandeur nature Création à partir des oeuvres complètes de Pierre Fanlac
Conception : Gilles Ruard
Interprétations : Isabelle Gazonnois et Gilles Ruard
Captations et créations sonores : Nicolas Barillot

Pierre Fanlac est une grande figure du Périgord.
Il fut à la fois éditeur et écrivain.
L’Édition de ses œuvres complètes en 2011 (« Écrits Récits » aux éditions Fanlac) a été l’occasion d’une (re)découverte de l’écrivain, poète et chroniqueur amoureux du Périgord, grand humaniste et guetteur de son temps. Son regard affuté, sa capacité à percevoir l’Homme au travers des géographies périgourdines et des forces qui la traverse, nous permettent aujourd’hui de nous mettre à l’écoute de nos propres existences, nous qui habitons ici et maintenant.

À partir de captations sonores réalisées aujourd’hui sur les lieux où se déroulent les contes de Pierre Fanlac nous faisons entendre ces histoires lumineuses et à portée universelle qui recèlent les mystères de la géographie du Périgord. Ce spectacle permet  au spectateur de se mettre à l’écoute de sa propre existence et de la beauté, de la force qui imprègnent nos paysages visuels et sonores.
Le Périgord aujourd’hui est habité par un grand nombre de personnes qui, nouveaux arrivants ou résidents de longue date, sont coupées de l’histoire, de la géographie, de la perception de cette terre. Parce que leur mode de vie, notre mode de vie, nous pousse à avoir un usage de notre environnement purement fonctionnel et adapté à notre modernité. Nous sommes coutumiers de pratiques d’un « minimalisme social » dans nos petits archipels rurbains ou périurbains.
Mais dans le même temps, et en dehors de toute nostalgie, nous aspirons à nous sentir plus en phase, en vibration avec cet espace que nous habitons et dont nous sentons bien qu’il est empli de courbes, d’atmosphères, d’ambiances, de fantômes et de vies ancrées dans le vent, les arbres, les pierres et les sillons. Et nous aspirons à nous nourrir de cela, à y puiser une force d’être là, en nous-mêmes ou avec les autres.

Dates à Venir :
Samedi 8 février à Saint Rabier / Organisation Association "Le livre en tête"
Vendredi 14 Mars à Montignac / Bibliothèque + associations
 Samedi 15 mars à Villefranche de lonchat / Organisation association "Lous Diablassous"

Résidence de travail
du 31 mars au5 Avril 2014

Présentations publiques
VENDREDI 4 AVRIL
à 20h30
et
SAMEDI 5 AVRIL
à18h
- Entre libre -

Guillaume : Peinture, Musique, Poésie
Alex : Accessoires, Effets spéciaux
Alain : Vidéo
Charles : Machiniste
Nina : Montage vidéo
Nono : Table en carton
Bernard et Fred : Bandes sons
Nicolas : Régie générale
Angel : Ouvreuse
Fabrice : Mise en scène

"Un jour Guillaume est entré dans l’atelier.Il avait dans sa poche une feuille qu’il a sorti en me disant “écoute”...Depuis ce jour, j’aime sa poésie, j’aime sa peinture, j’aime sa générosité." Daniel Faure

Luminescence
Réponds à ce qu'il y a de mieux dans la vie Je suis maître de mon corps
Au terroir de mon âme je vous aime
Je me remets les jours passant en fuite De mon père, de mes douleurs
Son image dévisage mon reflet
Je n'ai plus peur de moi ni de personne Je suis las de mes mensonges
Mon cœur en naufrage se promène
L'avenir n'est pas immuable Ce n'est pas une question de courage
Nos frayeurs ne sont qu'humaines Alors n'aies peur de rien.

Texte de Guillaume BERTRAN - http://bipol-art.e-monsite.com/album/

Résidence de travail
du 7 au 11 avril 2014

Présentations publiques :
JEUDI 10 AVRIL
et VENDREDI 11 AVRIL
à 20h30

Tarif plein : 10€
Tarif réduit : 8€ demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans

Brecht Compagnie
Documentaire : "Berlin. Die Sinfonie der Großstadt"
Berlin, Symphonie d’une grande ville - Walter Ruttmann - N/B-1927
Textes : Bertolt Brecht,
Musiques : Hanns Eisler, Kurt Weill et Paul Dessau
Chant : Anne Dammers
Piano : Isabelle Loiseau
Conférencier : Vincent Lelièvre

Documentaire avant la lettre et « première oeuvre d’art total » du cinéma, c’est un hymne constamment inventif et d’une extraordinaire beauté plastique à la capitale allemande et à sa vitalité, de l’aube à la nuit. Le train arrive en plein coeur de Berlin après avoir traversé des bois, des prairies puis les faubourgs de la capitale allemande. Le jour se lève, les rues s’animent peu à peu. Le rythme du film est de plus en plus rapide, et la cité de plus en plus vivante. Après la pause de midi, l’activité règne de nouveau dans les rues, les bureaux, les usines. Le soir, les habitants se détendent tard dans la nuit jusqu’à ce que le calme revienne enfin. (réf. Arte TV). Berlin à cette époque peut être considérée comme la figure de proue de la Nouvelle objectivité. Le film donne une image fascinante, aujourd’hui disparue de Berlin. C’est une véritable ode à la technologie et aux machines, une glorification de la dynamique de la métropole et de la vie en ville, où il est de bon ton de flâner. Il n’est montré qu’exceptionnellement des images de pauvreté, comme l’homme qui ramasse des mégots ou celle de l’homme à l’orgue de Barbarie. L’analyse de la moralité humaine, encore étonnamment pertinente y est transmise de manière intense. « L’homme dans son environnement fait l’homme qu’il est ».

En regard à ce film, Anne Dammers (chant) et Isabelle Loiseau (piano) proposent l’interprétation de chansons de Bertolt Brecht sur des compositions de Kurt Weil, Hanns Eisler et Paul Dessau. La combinaison exceptionnelle de l’œuvre de Ruttmann, des textes de Brecht, de la musique des trois compositeurs renforce l’impact troublant des images du film.

POUR EN SAVOIR PLUS : DOCUMENT PDF

Ce ciné-concert est également proposé par Ciné-Cinéma le Mardi 11 Mars 2014 à 19h30

Concert organisé par l’association Jazzogène

Matthieu Donarier : Saxes ténor et soprano, clarinette, clarinette basse
Sébastien Boisseau : contrebasse

WOOD sonde patiemment la matière, fait jaillir les résonances, creuse les silences, patine son chant jusqu'à l'épure .Groupe de scène avant tout, ce duo de l'instinct et de l'instant démonte et remonte sans cesse ses compositions, improvise des hymnes à l'amour, des rythmiques improbables qui progressent sur le fil de l'inconnu, des chants d'oiseaux jamais entendus jusqu'alors.

WOOD rend hommage à Duke Ellington et revisite Joachim Kühn avec la même force de propos. Les racines sont ancrées dans la terre du jazz, pour autant les branches sont multiples, pleines de fruits. Leur musique coule de source : bien malin qui peut dire où commence l'improvisé, où finit l'écriture... c'est une des forces de ce duo, qui confirme définitivement la complicité de ces orfèvres que sont Matthieu Donarier et Sébastien Boisseau.

“Dans cette nouvelle génération de saxophonistes français apparus dans les années 90, Matthieu Donarier est incontestablement l’un des plus doués, l’un des plus pertinents, et l’un des plus recherchés par les grands noms de cette musique (participations remarquées aux en-sembles de Daniel Humair, Patrice Caratini, Gabor Gado, Stephan Oliva…). Sébastien Boisseau est aujourd’hui l’un des contrebassistes français les plus remarqués et dont la réputation est grande, tel un nouveau Jean-François Jenny Clark ! Leur rencontre en duo est un petit bijou musical.”  (Citizen Jazz)

CD « Wood » paru chez YOLK.

Yonathan Avishai – piano
Yoni Zelnik – contrebasse
Donald Kontomanou – batterie

Plus qu’un groupe ou un spectacle « Modern Times" est un espace de création et d’expérimentation. Le résultat de cette recherche est un univers, un son unique. La musique de Yonathan s’inspire profondément du jazz, la dimension unique, singulière, éphémère de la musique y est un élément fondamental. Inspiré par des artistes tels que Louis Armstrong, John Lewis, « Art ensemble of Chicago » ou encore Mark Rothko, Yonathan crée un univers poétique, riche en émotions et en couleurs. Il cherche à donner à la musique plus de relief et de profondeur, à charger les notes et à rendre le son théâtral. C’est à travers une épuration des moyens que cette musique prend forme. C’est un travail d’exploration de l’espace musical et de l’espace scénique également, avec tout ce qu’il comprend : mouvement, voix, lumière, couleur, forme.

Yonathan Avishai, vrai passionné par l'histoire du jazz, nourrit sa création contemporaine de traditions. Ses compositions, sobres et subtiles sont marquées par une grande finesse. Une musique dans laquelle le minimalisme est un moyen d’observer le mouvement et d'aller à l’essentiel, à la poésie.

"...tous trois nous offrent un moment de magie comme on en vit rarement avec une musique très libre, portée par une évidente joie de jouer, pleine de surprises, de subtilité et de finesse tout en restant d’une grande simplicité". Julien Gros-Burdet, (Citizen Jazz)

www.yonathanavishai.com

Résidence de travail
du 12 au 15 Mai 2014

Présentations publiques :
MERCREDI 14 MAI
et
JEUDI 15 MAI
à 20h30

Tarif plein : 10€
Tarif réduit : 8€ demandeur d’emploi, étudiant, - 18ans...
gratuit pour les moins de 12 ans

D'après la pièce d’Edmond Rostand
Avec Patrick Guichard, seul en scène
Adaptation et mise en scène : Frank Bertrand

www.danslalogedecyrano.com/

Concert organisé par l’association Jazzogène

Daniel Zimmermann, trombone, composition
Maxime Fougères, guitare
Jérôme Regard, contrebasse
Julien Charlet, batterie

Tromboniste du dernier groupe de Claude Nougaro et du Maraboutik Band de Manu Dibango, premier prix de soliste au Concours de La Défense en 2002, invité du Gnawa Festival d’Essaouira en 2010, Daniel Zimmermann est avec Thomas de Pourquery l’un des fondateurs du groupe DPZ (Disque de l’année 2009/ Jazz magazine).
Soliste spontané et généreux, au son et au phrasé singuliers, il joue ou a joué avec les formations d’artistes tels que : Wynton Marsalis, Archie Shepp, Karim Ziad, François Jeanneau, Andy Emler, Michel Legrand, Etienne Mbappé, Sylvain Beuf, Paco Sery, Jacques Vidal, Laurent Cugny, Jean-Marie Ecay, Christophe Monniot, Antoine Hervé, Hervé Sellin, Ivan Jullien, Simon Spang-Hansen, Stéphane Guillaume, Sylvia Versini, avec le Sacre du Tympan, le Paris Jazz Big Band, l’ONJ de Franck Tortiller, Toufic Farroukh, Tania Maria…
Ce nouveau quartette réunit des compagnons rencontrés au fil de toutes ces pérégrinations, à l’esprit et aux parcours ouverts à 360°, mais avec la volonté commune de produire une musique directe et qui assume l’héritage du jazz et de ses traditions : groove, thématiques simples, improvisation, ceci afin de permettre à chaque individu d’exprimer au mieux sa personnalité.

Le groove et la profondeur de son de Jérome Regard (contrebasse) en ont fait l’un des sidemen les plus demandés du jazz français aujourd’hui. L’électrisant et volcanique Julien Charlet est un des rares batteurs reconnus par ses pairs comme étant aussi à l’aise dans les contextes binaires que ternaires. Enfin, l’élégant Maxime Fougères à la guitare se distingue par la chaleur de son son, sa sensibilité mélodique et son refus des artifices.

En savoir plus : Daniel Zimmermann Quartet